Une fois de plus, alors que la filière photovoltaïque est en danger, votre souci principal est d’attaquer, dans votre blog, le Syndicat des énergies renouvelables.
Vous y parler de « résignation », « d’impuissance », de « crise de confiance », de « mutisme », c’est évidemment parfaitement contraire à la réalité puisque nous n’avons cessé de multiplier les initiatives, les rendez-vous et les mises en garde les plus solennelles tant par communiqués de presse (qu’ENERPLAN a parfois cosigné, ce que vous ne pouvez ignoré car vous en êtes vice-président), que par lettres officielles (au Président de la République, au Premier Ministre, aux Ministres en charge de l’écologie, de l’économie et des finances, de l’industrie) et par conférences de presse (réunissant à chaque fois les plus grands acteurs du secteur : Photowatt, Tenesol, MPO, SUNNCO, etc.).
Nous travaillons, par ailleurs, d’arrache-pied aux amendements que nous défendrons après-demain au Conseil Supérieur de l’Energie. Les attaques que vous réitérez contre le SER sont donc totalement infondées.
A l’heure où tous les acteurs, y compris la plupart des administrateurs d’ENERPLAN, nous appelle pour que nous établissions un discours et une stratégie en commun, vous ne faîtes que poursuivre la stratégie de division que vous avez menée depuis des mois et dont on voit malheureusement le piètre résultat. Nous ajoutons que vous ne tenez pas les engagements que vous avez pris puisqu’après la vraie/fausse interview d’André ANTOLINI publiée sur votre blog, vous avez certes publié une vraie interview sur ce blog mais vous vous êtes bien gardé de la reproduire dans Plein Soleil en vous contentant de reprendre à ce sujet les propos de Madame VENNIN, qui comme nous vous l’avions déjà précisé, ne reflétaient pas la teneur des entretiens que j’avais eus avec votre journaliste.
Par ailleurs, nous sommes surpris que vous utilisiez systématiquement, sans notre autorisation, le logo du SER dont vous vous présentez, d’ailleurs, comme le vice-président dans la presse locale (Midi Libre, édition du 26 février édition de Perpignan), ce qui est évidemment totalement inexact.
Nous vous demandons donc instamment de publier immédiatement le présent droit de réponse en utilisant cette fois-ci, avec notre autorisation le logo du SER, et de cesser vos attaques contre le SER qui n’ont pour objet et pour résultats que de nuire à l’ensemble de la profession.
Cordialement.
André ANTOLINI et Jean-Louis BAL
Pour recevoir sans attendre les infos dès qu’elles sont postées sur ce site, rien de plus simple. Il vous suffit d’indiquez votre adresse électronique dans la case ci-dessous. Ce service est entièrement gratuit. Votre e-mail
