Le fabricant chinois de panneaux solaires Upsolar vient de remettre à jour son bilan carbone pour les A/O CRE 3 et 4. Et autant dire que le sourcing et le travail effectués donnent de bons résultats. Avec une valeur de 300kg CO2/kWc pour la gamme monocristallin, Upsolar a mis en place une supply chain unique sur le marché avec des cellules et wafers d’origine coréenne et un assemblage en Turquie qui rendent la capacité de production et le prix très compétitif. Le bilan carbone a été validé et certifié par Certisolis. Un volume d’environ 64MW est d’ores et déjà sécurisé pour fournir les clients qui ont des besoins soumis à la contrainte du bilan carbone et des délais de livraison très courts.
« Cette nouvelle supply chain nous permet de fournir des panneaux à haut rendement jusqu’à 320W pour le 60 cellules dès maintenant et 370W pour le 72 cellules. La marque Upsolar tutoie donc désormais les hauts rendements à des prix défiants toute concurrence » assure Delphine Cabioch, ingénieure commerciale. Fort de cette nouvelle offre, Upsolar sera présent sur le salon Intersolar à Munich (A2.330) avec un stand et l’ensemble des équipes Europe qui seront présentes pour répondre à tous les clients et prospects potentiels.
La capacité de production avec cette supply chain s’élève à environ 500MW par an. Elle est opérationnelle depuis le deuxième trimestre 2018 avec des livraisons déjà en cours. Upsolar est présent sur le marché depuis 2006 avec un effectif d’environ 90 personnes et des références internationales majeures. Depuis l’année dernière Upsolar s’investit également dans les projets innovation avec son nouveau système de fixation flottant, testé pour résister à de fortes charges de vent et une facilité d’assemblage. Upsolar surfe sur la vague du solaire flottant. « Nous sommes convaincus que notre process industriel à bilan carbone optimisé permettra aux installateurs, développeurs ou investisseurs d’optimiser la rentabilité de n’importe lequel de leur projet sans pour autant être contraints sur les délais et les volumes » conclut Delphine Cabioch.
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