PortAventura World va implanter une installation photovoltaïque de 100 000 m2 dotée de 22 000 modules qui fourniront le resort en énergie. Le projet démarrera au printemps 2020 et sera la plus grande installation photovoltaïque d’autoconsommation d’un resort en Europe. L’installation, de la taille de 14 terrains de football, aura une puissance nominale de 8,5 MW. Ainsi, un tiers de la consommation électrique de PortAventura World proviendra de l’énergie solaire. L’installation photovoltaïque permettra d’éviter l’émission dans l’atmosphère de 4 000 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de la quantité absorbée par 930 000 arbres.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie de responsabilité d’entreprise de PortAventura World. Concrètement, il fait partie des engagements environnementaux visant à réduire la consommation d’énergie et favoriser la transition énergétique, contribuant directement à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) 7 et 13 des Nations Unies, deux des ODD prioritaires sur lesquels PortAventura World a le plus d’impact. C’est l’une des initiatives du resort visant un nouveau modèle d’énergie renouvelable, propre et orienté vers la décarbonisation du secteur énergétique.
Selon Fernando Aldecoa, PDG de PortAventura World, « l’installation photovoltaïque est un projet qui agit comme levier pour promouvoir le changement vers un monde plus durable et responsable. Cette vision nous permet de rester à l’avant-garde et de continuer à faire partie des leaders en matière de durabilité parmi les destinations touristiques internationales ».
Encadré
La centrale de PortAventura World en chiffres
§ Un tiers de la consommation d’électricité du resort proviendra de l’énergie solaire grâce à l’installation de 22 000 panneaux photovoltaïques d’une puissance de 8,5 MW prévue pour le printemps 2020.
§ Avec un investissement de six millions d’euros, ce projet renforce le leadership de PortAventura World en matière de développement durable dans le secteur du tourisme.
§ L’installation permettra d’éviter l’émission dans l’atmosphère de 4 000 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de la quantité absorbée par 930 000 arbres.
