Pour Lendosphere, les énergies renouvelables sont les valeurs refuges de demain

Dans un contexte marqué par la crise sanitaire liée au COVID-19 qui bouleverse l’économie mondiale, les énergies renouvelables prouvent leur résilience et s’affirment comme des valeurs refuges. Elles doivent s’inscrire dans l’après-crise au cÅ“ur des solutions aux défis de notre siècle. Projections entre résilience et visibilité en temps de crise !

« La crise sanitaire que nous traversons ne doit en aucune façon nous faire renoncer aux objectifs ambitieux en termes de développement des énergies renouvelables », a déclaré dans un communiqué Elisabeth Borne, ministre de la Transition Écologique. Les syndicats professionnels (Syndicat des Énergies Renouvelables, Enerplan et France Energie Eolienne) et le ministère ont collaboré pour prendre des mesures immédiates en faveur des filières EnR, comme l’aménagement du calendrier des prochains appels d’offres ou le maintien à son niveau actuel du tarif en guichet ouvert pour le solaire photovoltaïque dans les trois prochains mois. Ces mesures, tout comme l’annonce des lauréats pour plus de 1400 MW éoliens et solaires début avril, contribuent à la solidité et à la visibilité globales du secteur.
Les énergies renouvelables solides sur un marché de l’énergie volatile

 

Les cours mondiaux du pétrole et du gaz sont aujourd’hui confrontés à une situation inédite : la demande s’effondre à cause de la pandémie à un moment où l’offre continue à largement augmenter, se traduisant par une volatilité des marchés mondiaux de l’énergie et impactant des secteurs économiques entiers. À l’inverse, les installations d’énergie renouvelable, avec leurs tarifs d’achat contractualisés et leurs ressources disponibles à l’infini, continuent à produire et générer des revenus, confortant leur solidité et leur qualité de stabilisateur. Une preuve du caractère « refuge » des énergies renouvelables, qui répondent de façon évidente aux urgences climatiques, économiques et sociétales et sortiront renforcées de cette épreuve.

 

Retards sur les projets mais aucun impact envisagé pour les investisseurs

Une grande partie des développeurs ayant présenté des collectes sur Lendosphere a tenu à rassurer leurs investisseurs sur les conséquences de cette crise sanitaire. Il en résulte qu’aucun retard ni défaut de paiement n’est à présager à court ou moyen terme sur les remboursements en cours. De fait, l’ensemble des acteurs de la filière des énergies renouvelables s’est organisé depuis le début du confinement (télétravail, maintenance adaptée, etc.) pour répondre au besoin d’approvisionnement du pays grâce au maintien de la production de leurs installations. Les projets en phase d’études ou de chantier vont connaître des retards, mais sans impact majeur sur la santé financière des entreprises concernées. « Production locale, contrepartie publique, visibilité à court et moyen terme : peu de secteurs concentrent autant de facteurs positifs, ce qui se traduit par une confiance maintenue de la part de notre communauté d’investisseurs », souligne Laure Verhaeghe, co-fondatrice de Lendosphere.

Un rapport ” bénéfice / risque ” en faveur des EnR

La transition énergétique nécessite des centaines de millions d’euros d’investissement chaque année : le financement participatif y répond en apportant une source de fonds efficace pour les projets tout en favorisant leur appropriation par les Français, qui sont déjà plus de 96% à encourager le développement d’au moins une filière verte – selon le baromètre 2019 OpinionWay. La belle dynamique du secteur repose sur un rapport « bénéfice / risque » en faveur des énergies renouvelables : technologies matures, visibilité du business plan sur 15 ans et projets portés par des entreprises solides. À ce jour, les prêts en cours n’ont fait d‘objet d’aucun défaut depuis la création de Lendosphere, ce qui est quasiment unique dans le secteur du crowdlending.

 

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