Si le groupe Total a confirmé il y a quelques jours le lancement d’un projet visant à  construire le plus important site de stockage d’électricité par batterie en France afin d’accélérer le développement des énergies renouvelables et ainsi rééquilibrer la production d’électricité en France, la société Eaton n’est pas en reste sur le sujet. Le spécialiste de la gestion d’énergie, propose des solutions de stockage depuis 2016, notamment en partenariat avec Nissan en tant qu’experts de la gestion d’énergie et des batteries lithium-ion pour véhicules électriques.
Avec sa solution xStorage, Eaton favorise l’intégration et l’autoconsommation des énergies renouvelables intermittentes et décentralisées, la réduction de l’empreinte carbone et la stabilité du réseau (régulation de fréquence). Eaton xStorage permet aussi l’écrêtage des pics et la réduction des coûts liés aux problèmes de continuité de service (interruption d’activité, perte de matière première). Enfin, elle favorise l’intégration des IRVE (Infrastructures de Recharge de Véhicules Electriques) en réduisant l’impact sur les réseaux de distribution existant et en favorisant l’utilisation d’énergie issue de sources renouvelables.
Christophe Bourgueil, Responsable du développement du stockage d’énergie chez Eaton commente : « Il est intéressant de constater que 4 ans après l’investissement d’Eaton dans le stockage, d’autres acteurs prennent la même direction.  Avec la solution xStorage, nous souhaitons aider nos clients à maîtriser leur alimentation électrique, à produire, stocker et consommer localement leur propre énergie. Ils pourront ainsi réduire leurs coûts d’exploitation et s’engager dans la transition énergétique. »
Les solutions de stockage Eaton s’inscrivent dans la transition énergétique et soutiennent les objectifs d’électrification des secteurs du transport (VE, Bus électrique, V2G, V2B), des bâtiments tertiaires et de l’industrie comme décrit récemment dans une étude publiée par BNEF en partenariat avec Eaton et Statkraft. Ce couplage sectoriel pourrait ainsi entraîner une réduction de 60% des émissions de CO2 issues des 3 secteurs mentionnés.