DisaSolar, PME française implantée à Limoges, vient d’annoncer la signature d’un contrat de recherche avec les laboratoires du Holst Centre aux Pays-Bas. Engagée depuis 2009 dans un ambitieux programme de recherche pour créer, en France, la filière du photovoltaïque organique, dit OPV, l’entreprise veut accélérer la mise au point du process industriel de fabrication de l’OPV par impression jet d’encre.
DisaSolar est un modèle en matière de recherche partenariale public-privé et de coopération internationale dans le domaine de l’innovation. En effet, depuis ses débuts, la PME française fédère autour d’elle de nombreux laboratoires de recherche français, européens et internationaux. Le Holst Centre, aux Pays-Bas, rejoint ainsi le CEA/INES, le CNRS/XLIM, laboratoires publics de recherche français et la Queens University au Canada parmi les acteurs de sa R&D.
DisaSolar confirme son approche de R&D en « cloud » où elle joue le rôle de coordonnateur et d’agrégateur des travaux au sein de son propre laboratoire à Limoges. DisaSolar est accompagnée dans son développement par Ceradrop, PME spécialisée dans l’électronique imprimée et qui a pour mission le développement de solutions d’impression jet d’encre dédiées.
Stéphane Poughon, président de DisaSolar, déclare : « Ce partenariat avec le prestigieux Holst Centre néerlandais vient parfaire notre réseau de R&D au cÅ“ur duquel nous avons voulu positionner notre entreprise. Grâce aux compétences et aux forces conjuguées des 4 laboratoires de recherche avec lesquels nous coopérons, nous avons aujourd’hui les moyens de notre ambition : devenir le numéro 1 du photovoltaïque de 3ème génération ». DisaSolar annonce également l’arrivée de deux ingénieurs expérimentés en électronique imprimée. Qui a dit que le photovoltaïque ne créait plus d’emplois en France ?
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