TSE s’engage dans la mesure et la réduction de son empreinte biodiversité (GBS)

TSE, opérateur photovoltaïque et agrivoltaïque acteur de la transition énergétique et de la reconquête de la biodiversité, s’engage dans la mesure et la réduction de son empreinte biodiversité au travers du Global Biodiversity Score (GBS). Pour faire que les  printemps soient de moins en moins silencieux !

L’outil élaboré par la CDC-Biodiversité, permet de mesurer les pressions exercées par les projets de l’entreprise sur l’ensemble de la biodiversité terrestre et aquatique, dans les phases statiques (extraction et fabrication des matériaux et structures) et dynamiques (période d’exploitation des centrales). L’unité utilisée pour cette mesure correspond à une surface de milieu naturel dégradé (MSA.km²).

Contribuer à la préservation de la biodiversité tout en assurant un rôle d’opérateur d’énergie renouvelable

« La mesure de notre empreinte GBS va permettre à TSE de disposer d’indicateurs précis pour piloter sa stratégie biodiversité en tenant compte de nos impacts, depuis la phase amont de fabrication, jusqu’à la fin de l’exploitation d’une centrale. C’est un pas supplémentaire dans notre engagement en faveur de la biodiversité qui permettra de mettre en évidence notre contribution à sa préservation tout en assurant notre rôle d’opérateur d’énergie renouvelable. », explique Yannick Giloux, Directeur de Biodiversité. Les résultats obtenus au cours de l’année 2022* montrent une différenciation très nette des impacts entre ces deux phases de la vie des projets :

- Les impacts statiques portent la plus grande partie (plus de 90%) des impacts négatifs notamment par la pression d’usage des sols pour les opérations extraction et les émissions carbone pour le transport et la fabrication, phénomène inhérent la quasi-totalité des activités nécessitant des matières premières ;

- Les impacts dynamiques sont, eux, compatibles avec une approche « positive impact », en particulier en tenant compte des émissions « carbone » évitées (0,6MSA.km², soit l’équivalent d’un stade de football).

TSE démontre ainsi, sur la seule action de ses métiers, des process particulièrement économes en termes d’empreinte biodiversité, voire positifs.

Des programmes de restauration de la biodiversité

Depuis, TSE a mis en place un plan de réduction de son empreinte biodiversité au travers de 2 actions principales :

- L’investissement dans le développement d’une industrie de fabrication de panneaux en France** et l’utilisation systématique de structures en acier bas carbone pour réduire à terme son empreinte statique ;

- La conduite et la contribution volontaire à des programmes de restauration de la biodiversité (son mécénat d’entreprise pour des projets associatifs de restauration écologique et son adhésion au club Entreprendre Pour la Planète du WWF) pour réduire son empreinte dynamique.

 

Cette dernière action réalisée sur une 1ère période 2022-2023 a permis d’intervenir sur approximativement 46 ha de milieux naturels. Elle a généré une réduction de 6 à 8 % de l’empreinte dynamique de TSE pour ainsi se rapprocher de son objectif de développer des projets à impact positifs sur la biodiversité.

* Le GBS a été mesuré avec l’appui de la société Biodiv’Corp.

**En mai 2023, TSE a annoncé sa participation dans le consortium Holosolis qui a pour projet la construction d’une gigafactory photovoltaïque à Hambach en Moselle. Avec une capacité de production de 5 GW par l’an, l’usine produira, en rythme de croisière, 10 millions de panneaux photovoltaïques soit l’équivalent des besoins énergétiques d’un million de foyers.

Encadré

TSE et le Muséum national d’Histoire naturelle ont signé une convention concrète en faveur de la biodiversité

TSE, opérateur photovoltaïque et agrivoltaïque engagé en faveur de la transition énergétique et la reconquête de la biodiversité, vient de signer une convention de collaboration de recherche et d’expertise avec le Muséum national d’Histoire naturelle. Cette première convention d’une durée de trois ans vise à renforcer la prise en compte de la biodiversité dans les actions de l’entreprise, sur l’ensemble de la chaîne des métiers, tout en contribuant à la collecte de données scientifiques. Elle comporte trois axes de collaboration :

  • L’apport d’informations scientifiques et naturalistes complémentaires pour la sélection foncière des futurs projets et la création d’un outil d’aide à la décision ;
  • La mesure de l’impact des centrales photovoltaïques avec un objectif de réduction, tant dans leur phase conception que dans les modalités de gestion écologique applicables ;
  • La sensibilisation et la formation des équipes.

Les travaux seront animés par la direction biodiversité de l’entreprise et l’Unité-Patrinat pour le Muséum, au sein de comités techniques et comités de pilotage. Pour Mathieu Debonnet, président de TSE, « nous avons fait de la biodiversité un point clef du développement de nos projets. L’entreprise se réjouit de ce partenariat avec un acteur scientifique majeur de la biodiversité qui lui permettra de renforcer encore plus son ambition écologique ». Pour Yannick Giloux, directeur Biodiversité de TSE, « C’est une collaboration qui, par les données scientifiques et de nouveaux indicateurs, va nous permettre d’aboutir à notre double objectif de développement du photovoltaïque et de préservation de la biodiversité ».

 

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