Élection de Jean-Louis Bal à la présidence de l’association Agir pour le climat

Le Conseil d’administration d’Agir pour le climat a élu, le 20 décembre, son nouveau Président, Jean-Louis Bal. Ancien directeur des ENR à l’ADEME et ex-président du SER qu’il vient juste de quitter, Jean-Louis Bal est l’homme de la situation.

Agir pour le climat est une association loi 1901, citoyenne et transpartisane, cofondée par Jean Jouzel qui en est le Président d’honneur et dont l’objectif est de contribuer à l’élaboration de solutions concrètes pour financer la transition écologique et solidaire en Europe. Sa volonté est de travailler avec toutes les forces de la société civile pour accélérer ce changement indispensable face à l’urgence climatique.

L’association intervient aujourd’hui sur deux thématiques principales :

• une solution de financement globale de la transition énergétique, le Pacte Finance-Climat européen, défendue à Bruxelles sous l’appellation Pacte Climat-Emploi. Agir pour le climat est à l’origine de l’idée de Banque européenne du climat, reprise par la Commission et en cours de réalisation ;

• la rénovation énergétique des logements pour laquelle Agir pour le climat a développé une forte expertise.

 

C’est sur ce deuxième volet, avec les membres de l’association et en collaboration avec d’autres acteurs, que Jean-Louis Bal, Président du Syndicat des énergies renouvelables pendant 12 ans et qui fut auparavant Directeur des énergies renouvelables à l’ADEME, s’engagera dans un premier temps :

« Avec la rénovation énergétique des logements, nous poursuivons le double objectif d’efficacité climatique et de justice sociale. La loi de programmation Énergie Climat qui sera discutée cette année devra tracer la trajectoire de rénovation énergétique jusqu’en 2028 et nous veillerons à ce qu’elle ne comporte pas seulement des objectifs mais décrive aussi les moyens à mettre en œuvre pour les atteindre en favorisant particulièrement les rénovations globales bien plus efficaces que les actions mono-gestes. Cette programmation devra ensuite être traduite dans des dispositions concrètes en loi de finances et nous serons attentifs à ces dispositions. »

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