A la suite d’une réunion entre les membres de Synergie Solaire et les collaborateurs de Smart Energies, reprenant ce qui avait pu être réalisé grâce aux dons passés de l’entreprise, l’équipe a choisi un projet solidaire en République du Congo. Celui-ci vise un double objectif : un accès à l’eau potable, et l’électrification du centre de santé Bon Berger, le tout au bénéfice de 4 000 personnes.
Depuis sa création, Smart Energies place au cœur de sa stratégie le développement de projets photovoltaïques ayant un sens : en Europe, cela signifie pas de consommation de foncier naturel, agricole ou forestier, mais au contraire utilisation de surfaces déjà anthropisées (toitures, parkings) pour déployer cette formidable énergie qu’est le solaire. En Afrique, cela peut être des projets au sol, mais en zone désertique. « Nous avons développé des projets en Tunisie et au Tchad, qui murissent progressivement. Pour nos équipes, il est essentiel de travailler sur des projets vertueux, on ne se lève pas le matin pour aller développer d’immenses objets qui vont certes générer davantage de profits à terme mais au détriment de l’acceptabilité locale, des paysages ou de la biodiversité » confie Vianney de l’Estang, CEO de Smart Energies.
Animés de cet état d’esprit, il était naturel que Smart Energies souhaite consacrer une partie de ses revenus à des projets solidaires utilisant l’énergie solaire, notamment en Afrique qui en a le plus besoin et où nous avions une présence. « C’est pourquoi nous accompagnons Synergie Solaire depuis 6 ans en finançant chaque année un projet de solarisation en Afrique, que ce soit pour électrifier un dispensaire, une école, ou développer un projet d’irrigation solaire. Nous sommes ainsi intervenus au Sénégal, au Tchad et dernièrement au Congo, à travers un projet qui a été sélectionné par les équipes de Smart Energies. L’équipe Synergie Solaire nous propose toujours des projets intéressants, dont elle assure ensuite le suivi vigilant de la réalisation. Elle vient régulièrement présenter à nos équipes l’avancement des projets, ce retour est essentiel. Au-delà de cette contribution financière, j’aimerais aussi que Smart puisse proposer du mécénat de compétences, et j’avoue que nous ne l’avons pas fait jusqu’à présent » conclut Vianney de l’Estang.