ilek propose des contrats d’électricité à prix fixe sur 2 ans avec le producteur CNR et des contrats de gaz à prix fixe sur 2 ans pour l’ensemble de ses producteurs gaz. Une première en France pour un tarif fixe de 2 ans en électricité renouvelable !
Depuis 2018, ilek a noué un partenariat avec la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), le premier producteur français d’électricité d’origine 100 % renouvelable. Fort de cette collaboration engagée et de la satisfaction client, le partenariat a été reconduit et propose à présent une offre de tarif fixe sur 2 ans. Cette offre permet de geler les coûts de l’énergie au même moment où le tarif réglementé peut subir plusieurs  augmentations sur une même période.
Un tarif fixe sur 2 ans également proposé pour les offres de gaz bio
Intéressés par cette démarche nouvellement développée avec CNR, les trois producteurs de gaz vert partenaires d’ilek, que sont : le Gaec de l’Avel, basé en Bretagne, La ferme du Haut Village – MéthaChrist, basé en Alsace et la STEP de Perpignan, basé en Occitanie, ont également convenu avec  le fournisseur d’une offre de tarif fixe sur 2 ans.
L’avantage d’une offre à prix fixe est qu’elle assure au client de ne pas voir les prix évoluer, même en cas de hausse des tarifs réglementés ou de fluctuation du marché. « Les tarifs ilek permettaient déjà de réaliser des économies par rapport aux tarifs d’EDF. Pour nos clients, ces derniers peuvent à présent bénéficier de deux possibilités : une offre avec un tarif fixé par les producteurs, qui varie chaque année ou un tarif fixe sur 2 ans. Cette nouvelle offre est une première en France en termes de durée avec des producteurs français », se félicite Julien Chardon, Président d’ilek.
Des tarifs fixes sur plusieurs années pour développer des moyens de production EnR
Ilek ambitionne de proposer des offres à  tarif fixe avec des durées plus ambitieuses d’ici quelques mois, c’est-à -dire aller au-delà des deux ans. « Nous travaillons en ce moment avec nos partenaires pour proposer prochainement des offres à prix bloqués sur des temps plus longs, afin de véritablement créer des conditions stables et viables pour la création de nouveaux moyens de production renouvelable. », conclut Julien Chardon.