Fabricant français de protections contre les surtensions transitoires d’origine foudre depuis 1937, Citel est aujourd’hui l’un des leaders européens. Dans le monde du photovoltaïque, les produits Citel sont incontournables. De quoi faire aimer les coups de foudre aux pros du photovoltaïque !
La langue française est ainsi faite, les mots parfois nous mentent. Pour lever au préalable toute confusion, il est indispensable de distinguer le paratonnerre qui capte le foudre pour l’amener à la terre et le parafoudre qui permet de lutter contre les effets indirects de la foudre, les fameuses surtensions transitoires. Ceci étant posé, Citel est donc le spécialiste français du parafoudre, une PME atypique de trois cents personnes dont une centaine en France qui réalise 70% de son chiffre d’affaires à l’export. La gamme étendue de parafoudres et la capacité de développement autorise à Citel une très forte présence internationale, notamment à travers diverses filiales commerciale (Allemagne, USA, Russie, Inde, Tchéquie) mais aussi une filiale mixte industrie/commerce en Chine qui compte près de cent cinquante salariés.
Sur un plan technique, les parafoudres sont en fait les seuls solutions reconnues et efficaces contre les problèmes de surtensions transitoires. Ces derniers peuvent survenir après diverses « agressions » (impact de foudre sur réseau aérien, remontée de potentiel de terre ou encore rayonnement électromagnétique).
Une gamme complète en continu come en alternatif
« Pour une installation photovoltaïque, les risques dépendent de plusieurs facteurs : Le niveau Ng de foudroiement géographique plus ou moins élevé suivant les régions, de 0,5 impact par km²/an à 4 dans le sud-est, le type d’installation (intégration en toiture, fermes solaires) et la longueur de déploiement du champ solaire. Sachant plus la distance entre le panneau est l’onduleur est importante plus les risques sont élevés. La mise en Å“uvre de parafoudres aux endroits névralgiques de grandes fermes solaires de plusieurs MW sera donc obligatoire » analyse Christian Macanda, responsable produit parafoudre chez Citel. Sur les sites tertiaires ou industriels qui intègrent une production photovoltaïque de puissance moyenne ou importante et selon les critères le parafoudre peut ne pas être obligatoire. Reste qu’aujourd’hui et au vu de l’investissement (environ 0,5% du matériel au total), les opérateurs se couvrent et installent des parafoudres afin d’éviter des pertes matériel ou d’exploitation intempestives. Trois positionnements clés pour les parafoudres : En boîte de jonction à proximité des capteurs et entre les capteurs et l’onduleur pour la partie DC (courant continu) et entre l’onduleur et le réseau pour la partie AC (courant alternatif). Deux courants pour deux normes différentes auxquelles la gamme Citel répond. Tout comme elle répond à la bible des installations, le fameux guide UTE C15-712-1. Pour qu’enfin les coups de foudre assassins laissent dans le mille de vos cÅ“urs le dessin d’une petite fleur qui lui ressemble !
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